dimanche 15 mars 2015

Impossible de résister à la tentation...

Je viens de t'habiller de cordes, comme à chaque fois que tu es libre de tes mouvements tu vas d'observer ainsi vêtue, tu te trouves belle...je suis content de moi.

De retour à mes côtés, tu t'agenouilles à mes pieds. Une paire de collants en guise d'arm-binder et te voilà ainsi immobilisée, la poitrine offerte, tes tétons qui m'allument.

Tu mordilles ta lèvre, ton regard s'embrume...je ne suis pas le seul à ressentir des choses...

Mon sexe se tend, je sens l'excitation monter en moi. Un collant en guise de baillon, je te réduis au silence...tes yeux parlent pour toi. Je n'y tiens plus de te voir ainsi, me levant je m'empare de mon chibre que je masturbe à quelques centimètres de ton visage.

J'entends ton souffle espérer mon explosion, espérer ressentir la chaleur de ma sève que tu apprécies tant.

Quelques minutes et ma semence jaillit, s'étalant sur ton visage ainsi offert. Je me rassieds et fume une cigarette en observant mon fluide couler lentement sur ton visage, la pesanteur faisant son effet.

Que tu es belle Ma Soumise...Dans ces instants de débauches et d'humiliations, je te trouve magnifique, j'aime cette fierté que tu dégages à te retrouver dans ces situations lubriques qui me passent par l'esprit...

Photo: - DR - Auteur Inconnu

samedi 7 mars 2015

Nefertachi

Quand il m'a parlé de me momifier, j'étais un peu inquiète. Non que je sois sujette à la claustrophobie mais les momies ont toujours été une clause de terreur pendant mon enfance. Une phobie liée probablement à l'idée de ma mort.

Mais, cette inquiétude se mâtinait de l'éternelle excitation de la nouveauté. Celle qui me permet de suivre tous les désirs de mon Homme, et d'emprunter les sentiers de ses scénarios les plus sauvages... toujours à sa suite.

La perspective d'être livrée à la plus implacables des contention n'était pas pour me déplaire. Ne pas avoir le choix est une source incomparable de plaisir. J'aime que l'on m'oblige... Je ne crains plus mon plaisir quand on me l'impose... Mon esprit s'efface devant mon désir, quand je suis attachée. Et mon DouxDom l'a fort bien compris... Je n'étais pas seule dans ma tenue de momie, un délicieux intrus c'était glissé... l'hitachi.

Mon Homme a commencé par me bander les yeux, puis le visage, puis les bras, jusqu'à mes chevilles. Seuls mes seins pouvaient revendiquer une petite liberté. Il leur avait laissé deux ouvertures... Enfin, pour lui... Il allait profiter de leur vulnérabilité, avec une pluie de cire sur leur pointes... 

Les bandes me serraient bien, et si l'odeur m’écœurait un peu, je m'y suis rapidement habituée. Saucissonnée, les bras le long du corps, je ne pouvais plus bouger d'un millimètre. A ses pieds, je ne pensais à rien, envahie par l'étrange impression de n’être plus qu'un pur esprit, mon  corps étant réduit à l'état de cadavre.

Pourtant, il s'est brusquement rappelé à mon souvenir, lorsque Mon Homme a branché l'hitachi. La valse des orgasmes a commencé. Un, deux, trois, quatre... Jamais je n'aurais cru que mon corps puisse être le siège d'autant de jouissances à la suite.  Je n'étais plus qu'une matière parcourue d'ondes et de vibrations. Impossible de compter mes orgasmes...

Si bien qu'une chaleur intense m'a envahie... Paniquée, j'ai demandé à mon Homme de me libérer. Ce qu'il a fait sur le champ... et je me suis lovée dans ses bras protecteurs, sonnée par l'intensité du plaisir.