dimanche 30 novembre 2014

Miroir mon beau miroir...

Alors que quelques jours auparavant, elle éprouvait des difficultés à se regarder dans le miroir en s'adonnant à une fellation sur un gode ventouse, je la surprends à plusieurs reprises en train de s'observer, se regarder, se trouver belle...telle Narcisse, allant même jusqu'à me confesser qu'elle s'observait, le vendre collé à la table et harnachée de cordes, je la possédais vigoureusement.

J'aime la voir prendre confiance en elle à mesure qu'elle plie, à mesure que nos débauches nous unissent, à mesure que ce qu'elle ressentait au fond d'elle même lui devienne une intense réalité.

Elle est magnifique, touchante, son corps aguicheur et ses désirs profonds me laissent entrevoir de très belles choses...profondes...intenses...

Il n'est pas toujours aisé d'être confronté à ses désirs intérieurs, de se voir à l'image réelle de ce que l'on se ressent...mais petit à petit...pas à pas elle avance sur ce chemin où je la guide avec bonheur et délectation.

Photo: -DR- Auteur Inconnu

dimanche 23 novembre 2014

Viens là Ma Chatte...

Il n'est plus grand bonheur que de se retrouver, que de sentir ses mains froides chercher le réconfort de ma chaleur, de sentir son souffle se lover aux creux de mes bras.

Sa chair pas encore marquée qui s'offre à mon regard, je sens comme une bouillonnante chaleur m'envahir. M'enivrant de son parfum, je dessine les contours de nos ébats à venir.

Ces tendres instants qui précèdent nos torrides tempêtes nous connectent l'un à l'autre, lui permettent de se laver du stress du monde extérieur, m'offrent la confirmation que mes tendres perversions lui sont vitales.

A mesure que sa température corporelle monte, je sens ses mains parcourir mon corps, alors que caresse après caresse, je reprends possession du sien.

Tu es à moi Petite Chose...Tu es à moi!

Photo: - DR - Auteur Inconnu

mardi 18 novembre 2014

Le repos du guerrier...ou le dessert de la soumise

Tendre moment complice d'après dîner, lorsque ma féline s'approche le regard espiègle, amusée de ma demande silencieuse de la vouloir s'occuper de mon chibre.

Je prends mes aises dans le canapé et la laisse s'amuser avec mon vît comme une chatte avec son jouet... Quelques caresses,  son nez qui se colle à ma peau pour humer ce parfum qu'elle apprécie, pour s'enivrer de mes effluves intimes. 

Quelques coups de langue et mon pieu de chair reprend vie. Doucement, sa langue court le long de ma tige...jusqu'à prendre en bouche mon gland enfin révélé par mon excitation grandissante.

Fermant les yeux je me laisse aller, la laissant mener cette joute bucco-génitale sensuelle. 

Savourant chacune de ses attentions, je sens ma sève bouillonner au fond de moi...Dans quelques instants, je perdrai tout repère me vidant tout entier au fond d'elle, emporté par ses ardeurs agiles.

Photo: - DR - Auteur Inconnu

dimanche 16 novembre 2014

Sensuelles retrouvailles...

Comme si nous n'avions jamais été séparé, nos lèvres se sont retrouvées, mes mains ont repris possession de cette délicieuse petite féline...

Délicieux échanges, délicieux partages, les yeux embués d'émotions de temps à autres, les marques qui se dessinent de nouveau à mesure que le corps danse sous ce flot de sensualité.

Une jolie poupée, aimant se retrouver chatte, lascive et indécente à mesure que je m'amuse à la chauffer, à mesure que je m'amuse à la malmener.

Elle ne peut chercher à nier ses ressentis, ses émotions, sa cyprine dégoulinante de son con et son corps ondulant sous mes vibrations prouvent son envie, son besoin d'être ainsi possédée...

Photo: - DR - Auteur Inconnu

mercredi 12 novembre 2014

Retour au calme...

A l'image d'un sculpteur, j'aime contempler ma matière avant de la travailler pour ressentir la manière dont je vais l'aborder. 

Pas le moindre centimètre carré de sa peau ne demeure sans que mon regard ne se soit posé dessus.

Tendre transition entre le monde extérieur et notre bulle, il est pour moi nécessaire. Il me plaît de voir l'autre retrouver le calme, échapper au tumulte de cette vie "publique" pour se plonger là où nous pouvons nous ressentir tels que nous sommes réellement, avant que la fougue de nos ébats nous procure ces délicieuses vibrations tant recherchées.

Entre chairs blanches et chairs marquées par nos ébats précédents, mon regard voyage au gré de ses courbes jusqu'au moment où, nous ressentant elle et moi totalement apaisés, je pourrai me consacrer à l'essentiel... la Belle!

Photo: - DR - Auteur Inconnu

mardi 11 novembre 2014

Délicieuses caresses...

Elle n'est pas sans ignorer la suite logique de ma demande de la voir se mettre en travers de mes genoux... demandeuse de mes cuisantes caresses, elle ne résiste pas et montre presque un certain empressement.

Une main posée sur son cou, de l'autre je lui caresse la croupe au travers de l'étoffe. Je masse, caresse ma propriété, je la sens, entends son souffle de plus en plus fortement.

Délicatement, je soulève sa jupe...plus aucun rempart entre sa peau blanche (pour l'instant!...) et ma main. 

En effleurant son derme, je la sens réagir, comme si ce contact presque imperceptible n'était pas assez et que son impatience en voulait plus... tout de suite.

MON temps est notre unité de mesure... Je vais à mon rythme peu importe son envie. Je souris, conscient que son impatience pour être fessée deviendra dans quelques temps des supplications pour que je cesse...

Je malaxe son séant laissant déjà quelques petites traces de mon passage... Une petite tape sur chacune de ses fesses et déjà sont postérieur tremble... Encore des caresses, puis une nouvelle série de claques un peu plus appuyées... Sa peau commence à rosir, alors que je passe ma main sur son postérieur, je sens ses doigts se décrisper en lâchant mon pantalon.

Quelques sonorités d'ordres liquides s'échappe de son entre-jambes lorsque je pétrie ses miches tel le boulanger pétrissant son pain...

Une nouvelle série plus longue et plus dense que la précédente. Ses doigts se crispent de nouveau, son fessier s'ébranle m'offrant le plaisir de voir l'onde sensuelle de chaque impact courir le long de sa chair. 

Nous approchons de ses limites...tendrement, je me saisis de ses poignets alors que je caresse sa chair rougie et qui me renvoie sa chaleur...

Je reprends mon oeuvre, accompagné de ses petits cris... Je sens qu'elle va bientôt implorer pour que je cesse, mais invariablement j'augmente encore l'intensité... Elle se débat, cherchant à protéger sa croupe de mes fessées. Ferme je la maintiens... Prenant conscience de son incapacité à mes détourner de mon objectif... elle se résigne à abdiquer, me demandant de cesser.

De nouvelles caresses... Je lui fais part de mon amusement à la voir avec le feu au cul. Avec le temps, elle sait que ce n'est pas parce qu'elle le demande que je m'arrête... Perversement, je resserre ma main sur ses poignets et reprends mon travail, lui prodiguant de nouvelles claques appuyées, bercé par ses demandes, ses suppliques pour que cela cesse.

Les fessées laissent place à de tendres caresses, je sens son corps tout entier se relâcher, je lâche ses poignets et la sens étreindre ma cuisse.

Nous restons ainsi quelques instants, sans un mot. Peu à peu elle reprend ses esprits, et glissant sur ses genoux, je plonge mon regard dans ses yeux humides. La prenant dans mes bras, nous nous embrassons amoureusement.

Comme à son habitude, elle est allée devant le miroir pour observer son séant et souriante, le regard encore humide, elle s'est de nouveau jeté dans mes bras.

Ma Belle...que j'aime m'occuper de toi!

Photo: - DR - Auteur Inconnu

lundi 10 novembre 2014

L'attente silencieuse

Cet être qui s'abandonne à mon regard inquisiteur et qui m'offre si délicieusement la vue de son corps m'émeut au plus profond de mon être.

Comme si mon regard se faisait touché, mes yeux la caressent, s'immiscent dans chacun de ses sillons.

Seuls les glaçons s'entrechoquant dans mon verre brisent le silence. Nul besoin de mots, nul besoin de toucher, son corps m'est connecté alors que je dessine les contours de ce qui va suivre...

Immobile devant sa danse lancinante je savoure ce moment où son désir se fait appel, où son corps tout entier m'implore, tendant vers moi sa croupe avide de mon vît.

Tout doux ma Belle, dans quelques instants mon regard ne sera plus seul à se poser sur toi...à te posséder.

Photo: - DR - Auteur Inconnu

dimanche 9 novembre 2014

L'angoisse du premier rendez-vous...par Mon Atalante


Quand j'ai pris le métro, ma journée se finissait. J'avais passé une partie de mon temps dans les transports, entre mes cours et mes rendez-vous. J'étais lasse, mais curieuse de savoir ce que tu m'avais préparé. Toutefois, quand je suis montée dans le métro, j'ai eu un petit doute quant à la pertinence de venir te voir après une journée si chargée.

En m'asseyant sur un strapontin de la ligne 10, je me suis doucement laisser aller à mes rêveries, la main sur mon portable pour pouvoir réagir immédiatement à tes sms.

J'ai fermé les yeux, posé mon dos contre le dossier. J'ai pensé à toi. A ce que tu m'avais dit sur ta tenue. Tu serais habillé pour l'occasion. Sans plus de détail. J'imaginais que tu me recevrais en harnais de cuir et fouet. Je savais que ta tenue symboliserait la frontière entre le monde tel qu'il est, et ton monde. Celui dans lequel tu m'invitais.

De vagues doutes m'assaillaient. J'allais être dans une position de vulnérabilité, entre les mains d'un inconnu. J'étais dans une situation dangereuse. Paradoxalement, cela me galvanisait. Le danger, la possibilité d'une destruction fantasmée excitait mon imagination. Se livrer, victime et martyr pour le plaisir d'un inconnu : un don bien plus vaste que du sexe.

Personne ne savait où j'allais. J'avais dit à mon compagnon que je me rendais chez une vague connaissance. Mais j'avais pris soin de laisser une adresse, la tienne, sur un post-it, posé nonchalamment sur le bureau... Comme une petite énigme, dont il me plaisait d'imaginer le scénario. D'abord ma disparition. L'inquiétude. L'appel à ma connaissance. Sa réponse négative. La perplexité. La découverte du post-it. L'ignorance du nom de mon ravisseur. L’enquête. Les perquisitions. Et puis ma découverte....

J'étais à la fin de mon cycle, ce qui marque, en général une baisse de mon désir. Le moment où je suis le plus Chatte, c'est la première quinzaine. Une petite femelle en chaleur qui se frotte aux ourlets de son maître, bouleversée d'hormones.

Mais je savais que notre rencontre serait assez fertile en découvertes et étrangetés pour pallier à ce contretemps biologique. Mon désir serait cérébral. J'engrangerai chacun de tes gestes, chacune de tes paroles, comme un film que je me passerai indéfiniment lors de mes séances de caresses intimes.

Je sautais de rame en rame de métro. Est-ce que j'allais vivre l’humiliation de la survenue de mes règles pendant les jeux que tu m'imposerais? J'étais partie sans prévoir de protection, cela me tourmentait. Mais, dans une espèce de délire, je me disais que j'étais capable de contrôler mon corps et qu'il ne se passerait rien.

Dans la nuit, je marchais vite, je m'en voulais d'être en retard. Je m'étais trompée de ligne, ce qui m'avait fait perdre dix minutes. Je voyais cette erreur comme une fuite symbolique. Mais il ne me serait pas venue à l'idée de fuir réellement.

Je savais que tu m'attendais. Je ne voulais pas te décevoir. Je t’inondais de messages, consciente que ce n'était qu'un piètre tour de passe passe.

Après quelques tâtonnements, je reconnaissais enfin ta rue. La félicité. Je tapais ton code et montais les marches. Est-ce que mon cœur battait plus fort ? Je ne sais pas. Je crois que j'étais un peu déconnectée. Je me regardais monter les marches, comme si un regard extérieur m'observait. J'étais à la fois actrice et spectatrice de ce que je faisais. Ma conscience était dissociée.

Je me préparais à faire quelque chose qui n'appartiendrait qu'à nous, que personne ne saurait jamais, quelque chose de fou, intense et absolu.

Tu m'as ouvert la porte, et tu m'as prise dans tes bras.Tu n'étais pas en harnais. Tu avais des bottes, un tee shirt noir et un pantalon moulant. J'ai senti ta chaleur. Ton tee shirt sentait la lessive, une odeur d'enfance. Tu m'as serrée contre toi, j'ai reconnu la forme de ton corps, la douceur de ta peau, sous ton tee-shirt. J'ai niché ma tête dans ton cou. J'ai senti ton odeur. Et là, j'ai enfin cessé d'être spectatrice de moi-même.

Auteur du courrier: Mon Atalante
Photo: - DR - Auteur Inconnu

Retour à l'état sauvage...

Parce qu'il n'est plus belle chose que d'être le témoin d'un retour à l'état sauvage, j'aime voir l'autre s'oublier, se laisser aller à mes tendres perversions et retrouver son état sauvage 

De cet apparent déséquilibre, de celui qui impose, dicte et conduit, à celle qui subit, obéit et plie, naît une troublante osmose, une sensation de partager des instants uniques bien plus forts que ne pourraient les décrire des mots.

Peu importe les apparences, peu importe les stigmates, la beauté de ce partage, de cette fusion, trouve son essence au plus profond des êtres, et ne peut au final qu'être totalement compris par lui et par elle... parce que c'est LUI, parce que c'est ELLE.

Photo: - DR - Auteur Inconnu

samedi 8 novembre 2014

D'heureux tours...Mon annonce

Homme Dominant disposé et disponible recherche une femme soumise qui rêve de s'abandonner pour une prise en main ferme, directive, juste et bienveillante.

Cérébral et imaginatif, j'aime conduire l'autre vers l'abandon, la prendre en main, me nourrir de ses aspirations, de ses envies, de ses espoirs pour façonner cet être à l'image de ce qu'elle se ressent.

Protecteur et bienveillant, je ne conçois pas cette relation sans de profonds échanges, une mise à nu de l'âme autant que celle du corps.

Je vous souhaite prête à faire le grand saut, avec un profond désir de devenir celle en qui l’officielle, la muse et la putain fusionnent.


Photo: - DR - Auteur Inconnu