dimanche 2 août 2015
Par monts et par vaux...comme une ode à ton cul
Tel le chasseur de proie, mon regard se promène sur tes courbes indécentes, incroyables tentatrices qui me font tourner la tête.
Je te "défessage", mon pantalon se tend à mesure que mes yeux se posent sur ton fessier, toutes mes envies resurgissent. De simples caresses, de simples doigtés inquisiteurs jusqu'à ma main qui s'abat sur tes lobes, toutes mes tendres attentions perverses à venir explosent en moi.
Viens là ma belle, que de mes songes à notre réalité, ta poitrine s'écrase sur mes genoux, que tes mains liées ne soient que des signes de notre relation particulière qui te fait tendrement t'offrir chaque jour davantage et nous transporte hors du temps...Je t'aime.
Photo: - DR - Auteur Inconnu
dimanche 15 mars 2015
Impossible de résister à la tentation...
Je viens de t'habiller de cordes, comme à chaque fois que tu es libre de tes mouvements tu vas d'observer ainsi vêtue, tu te trouves belle...je suis content de moi.
De retour à mes côtés, tu t'agenouilles à mes pieds. Une paire de collants en guise d'arm-binder et te voilà ainsi immobilisée, la poitrine offerte, tes tétons qui m'allument.
Tu mordilles ta lèvre, ton regard s'embrume...je ne suis pas le seul à ressentir des choses...
Mon sexe se tend, je sens l'excitation monter en moi. Un collant en guise de baillon, je te réduis au silence...tes yeux parlent pour toi. Je n'y tiens plus de te voir ainsi, me levant je m'empare de mon chibre que je masturbe à quelques centimètres de ton visage.
J'entends ton souffle espérer mon explosion, espérer ressentir la chaleur de ma sève que tu apprécies tant.
Quelques minutes et ma semence jaillit, s'étalant sur ton visage ainsi offert. Je me rassieds et fume une cigarette en observant mon fluide couler lentement sur ton visage, la pesanteur faisant son effet.
Que tu es belle Ma Soumise...Dans ces instants de débauches et d'humiliations, je te trouve magnifique, j'aime cette fierté que tu dégages à te retrouver dans ces situations lubriques qui me passent par l'esprit...
Photo: - DR - Auteur Inconnu
samedi 7 mars 2015
Nefertachi
Quand il m'a parlé de me momifier, j'étais un peu inquiète. Non que je sois sujette à la claustrophobie mais les momies ont toujours été une clause de terreur pendant mon enfance. Une phobie liée probablement à l'idée de ma mort.
Mais, cette inquiétude se mâtinait de l'éternelle excitation de la nouveauté. Celle qui me permet de suivre tous les désirs de mon Homme, et d'emprunter les sentiers de ses scénarios les plus sauvages... toujours à sa suite.
La perspective d'être livrée à la plus implacables des contention n'était pas pour me déplaire. Ne pas avoir le choix est une source incomparable de plaisir. J'aime que l'on m'oblige... Je ne crains plus mon plaisir quand on me l'impose... Mon esprit s'efface devant mon désir, quand je suis attachée. Et mon DouxDom l'a fort bien compris... Je n'étais pas seule dans ma tenue de momie, un délicieux intrus c'était glissé... l'hitachi.
Mon Homme a commencé par me bander les yeux, puis le visage, puis les bras, jusqu'à mes chevilles. Seuls mes seins pouvaient revendiquer une petite liberté. Il leur avait laissé deux ouvertures... Enfin, pour lui... Il allait profiter de leur vulnérabilité, avec une pluie de cire sur leur pointes...
Les bandes me serraient bien, et si l'odeur m’écœurait un peu, je m'y suis rapidement habituée. Saucissonnée, les bras le long du corps, je ne pouvais plus bouger d'un millimètre. A ses pieds, je ne pensais à rien, envahie par l'étrange impression de n’être plus qu'un pur esprit, mon corps étant réduit à l'état de cadavre.
Pourtant, il s'est brusquement rappelé à mon souvenir, lorsque Mon Homme a branché l'hitachi. La valse des orgasmes a commencé. Un, deux, trois, quatre... Jamais je n'aurais cru que mon corps puisse être le siège d'autant de jouissances à la suite. Je n'étais plus qu'une matière parcourue d'ondes et de vibrations. Impossible de compter mes orgasmes...
Si bien qu'une chaleur intense m'a envahie... Paniquée, j'ai demandé à mon Homme de me libérer. Ce qu'il a fait sur le champ... et je me suis lovée dans ses bras protecteurs, sonnée par l'intensité du plaisir.
dimanche 15 février 2015
Momifiée...
Debout, nue devant moi tu te laisses faire...étonnée, te demandant à quel jeu j'allais te manger.
Je te donnes quelques indications sur comment vont se passer les choses sans trop en dire.
Patiemment, je te momifie dans ces bandes cohésives. Je commence par le visage, t'aveuglant, puis ton corps.
J'insère en toi ton oeuf vibrant télécommandé, te fais t'allonger sur le dos et pose le magic wand en bonne place avant de terminer cette momification perverse qui t'immobilisera tout le temps désiré.
Tu es là, seuls tes seins découverts, lorsque je met en route les vibromasseurs. Là, immobile, impuissante, je joue avec le variateur du magic wand et te laisse partir dans un orgasme... Je pourrais te laisser ainsi, tout arrêter... Bien au contraire, je redouble la puissance des variations et je t'admire ondulante sous les vibrations.
Que j'aime te voir ainsi impuissante, incapable de repousser tes assauts intérieurs, impossible de me faire arrêter les pulsations ravageuses de ce vibromasseur démesuré...
Nous avons oublié le décompte de tes orgasmes, mais une fois libérée, tu t'es blottie dans mes bras sous une couverture et tendrement nous nous sommes reposé.
Que de tendresses échangées...Quel bonheur de jouer avec toi, de jouir de ton corps offert.
Photo: - DR - Auteur Inconnu
dimanche 1 février 2015
De l'art d'être esclave (suite)
Et dans le fond, cela était un excellent remède contre l'humiliation de mon rendez-vous professionnel. Paradoxalement, je reprenais des forces à être si bien humiliée.
J'avançais donc sur mes escarpins aux talons trop fins. Dans le noir, ma marche se faisait aléatoire, et je serrais fort la main de mon homme. Je savais que j'aurais besoin de ce contact pour ne pas trembler.
Jamais mon besoin de lui n'avait été aussi fort. Il était une partie de moi, en l’occurrence mes yeux. J'étais devenue une extension de lui.
Il m'a attachée les mains dans le dos, avec des menottes, et fait asseoir devant l'homme, sur la table basse. Je savais que cet homme allait détailler mon corps. Et je me demandais s'il allait voir mon sexe épilé sous le voile. Je ne pensais qu'à cela. Comme si je me rattachais à ce dernier symbole de pudeur, pour oublier que j'étais habillée comme une catin.
La voix de l'homme était agréable, il papotait tranquillement avec mon Maitre. Il avait l'air intelligent. J'en savais gré à mon Maitre de me livrer au regard d'un homme bien élevé.
Mes jambes tremblaient un peu. J'essayais de cacher cette émotion. Mon Maitre me caressait doucement la cuisse. Sa main ne me quittait pas, il prenait soin de ne jamais rompre le contact.
Sa main était tendre et protectrice. Je savais qu'il appréciait le pouvoir que je lui donnais à ce moment là. Et j'aimais l'idée qu'il soit excité par ce pouvoir.
Il a dit qu'il m'aimait. Jusque-là, il ne l'avait dit que dans un moment d'intimité. Je me suis contentée de sourire. Et j'ai ressenti à mon tour un certain plaisir pervers, qui n'était pas un succédané de celui de mon Maitre. Celui de faire de cet homme inconnu et bien élevé l'instrument de la reconnaissance de ma propre puissance.
Et en même temps, j'ai ressenti une immense tendresse et une reconnaissance infinie pour cet aveu, dans ce moment où j'étais si vulnérable.
(à suivre)
Et en même temps, j'ai ressenti une immense tendresse et une reconnaissance infinie pour cet aveu, dans ce moment où j'étais si vulnérable.
(à suivre)
Réveil claquant...
J'aime sortir doucement d'une nuit profonde, sentir ton corps nu collé au mien, respirer ton odeur et parcourir tendrement ta chair.
Comme si j'étais jaloux de Morphée, j'aime te sentir émerger, ta blottir contre moi, imbriquer ton corps dans le mien tels deux blocs de Tetris, pour que rien ne puisse nous séparer.
Je découvre la couette et déjà tu te mets sur le ventre, alors que mes mains parcourent ta croupe, qui appelent mes tendres claques sur ton postérieur.
La chambre est encore plongée dans le noir, mais ta peau blanche et ta chaleur l'illuminent...lorsque ma première salve fait vibrer ton fessier.
Silencieuse tu te laisses aller, bercée par les soubresauts de ta chair claquée. Point de violence, juste un réveil réchauffant, à notre image, une montée en température pour bien commencer la journée.
Que j'aime ton cul ma femelle!
Photo: - DR - Auteur Inconnu
mercredi 28 janvier 2015
De l'art d'être esclave
Ce soir là, je revenais d'un rendez-vous professionnel qui s'était mal passé. Quand j'ai passé la
porte, j'avais juste envie d'être tranquille. Ou plutôt d'un moment
de tendresse, de me lover dans ses bras et d'oublier tout ça.
Mais il m'avait préparé
quelque chose...Rien ne s'est passé comme je l'attendais.
Il m'a accueillie avec un bref : « vas dans la chambre ». J'ai été frustrée de ne pas l'avoir plus longtemps. Je me suis couchée sur le lit, et j'ai regardé le plafond, légèrement hypnotisée par la fatigue de ma journée.
Il m'a accueillie avec un bref : « vas dans la chambre ». J'ai été frustrée de ne pas l'avoir plus longtemps. Je me suis couchée sur le lit, et j'ai regardé le plafond, légèrement hypnotisée par la fatigue de ma journée.
Il est revenu un court
instant pour me dire de mettre un collant qui me couvrirait entièrement. J'étais
un peu énervée. Je n'avais pas envie d'être soumise ce soir là.
Il est reparti.
Et puis, j'ai entendu une autre voix dans le salon. C'est ça qu'il avait préparé, il y avait un autre homme avec lui !
J'ai d'abord eu peur. Et puis je me suis sentie vraiment minable. Je me suis dit que j'allais partir. Je ne pouvais pas enquiller deux humiliations. Même si l'une n'était qu'une mise en scène.
Je me suis assise sur le
lit. Et j'ai pensé : je peux partir. Sur mes genoux, il y avait
la combinaison. L'homme continuait à parler dans le salon.
« Et si j'avais la force
de le faire ? »
Est ce que j'ai pensé
que je pouvais le décevoir si je ne le faisais pas ? Peut-être,
mais je ne saurais dire pour combien ce sentiment à peser dans ma
décision de rester.
Il est revenu dans la
chambre, il m'a aidée à enfiler la combinaison. Je lui ai dit :
« je te préviens, si je le sens pas et qu'il me touche, je lui
envoie une claque ». Je crois que l'idée était de lui mettre
un peu de pression.
Il m'a dit « il ne
fera rien si tu ne veux pas ».
Il m'a bandé les yeux
m'a emmenée, en laisse, devant cet homme, dont je n'entendrais que la
voix.
Et étrangement, mon
humiliation s'est transformée en fierté. Je n'étais pas excitée
par le fait d'être objectivée devant un inconnu mais par le fait
d'avoir la force de le faire.
(à suivre)
Photo: Nyloculus
dimanche 18 janvier 2015
Ma gnifique
Qu'il est doux de la voir s'épanouir à mes côtés, la sentir découvrir toute sa sensualité, sa beauté!
Avec elle je m'amuse à jouer à la poupée, lui offrir des tenues sensuelles ou plus osées.
J'aime la contempler dans ces étoffes, ces tissus, toujours très près de ses courbes qui me font tourner la tête.
Sa croupe "arrogante" attire inlassablement mon regard, à tel point que même lorsque nous nous séparons, la regarder s'éloigner devient un plaisir.
Photo: @PhotAL (moi!)
Modèle: Mon Atalante
dimanche 11 janvier 2015
Certes minoritaires...
Ils sont encore trop nombreux à l'oublier
RIP
Ahmed Merabet
Bernard Maris
Bernard Verlhac dit "Tignous"
Clarissa Jean Philippe
Elsa Cayat
Franck Brinsolaro
François-Michel Saada
Frédéric Boisseau
Georges Wolinski dit "Wolinski"
Jean Cabut dit "Cabu"
Michel Renaud
Mustapha Ourrad
Philippe Braham
Philippe Honoré dit "Honoré"
Stéphane Charbonnier dit "Charb"
Yoav Hattab
Yohan Cohen
Illustration : Large
samedi 10 janvier 2015
J'en pince pour toi!
Je ne pouvais pas rester sans réagir, je devais marquer le coup...Une fessée, non tu aurais pris du plaisir...la badine...pendant des jours tu aurais contemplé fièrement ton arrogante croupe.
Ce que tu aimes le moins... voilà ce qui allait être ta punition...
Ton espièglerie, lorsque je t'attache sur cette chaise courbée, le bassin contre le dossier, les mains sur l'assise, inconsciente de la sentence, me pousse à allonger la durée du supplice à venir...
Le baillon...une petite résistance (feinte?) et finalement ta bouche qui s'ouvre. Un bandeau pour ne pas voir que ce que tu crains le plus arriver...
J'attrape tes tétons et leur attache des pinces à seins reliées par une chaîne... Tes gémissements n'y font rien, je continue n'écoutant pas tes souffrances... Une nouvelle paire de pinces viennent mordre tes grandes lèvres...
Encore quelques gémissements puis le silence. Tranquillement assis, je t'observe...le regard posé sur tes mains qui se crispent pour ne pas gémir de cette douleur...Que j'aime ta fierté!
Les minutes s'égrainent sans doute plus rapidement pour moi que pour toi. Je te regarde, j'apprécie tes courbes, j'aime ton corps qui m'est offert.
Oui, les pinces t'ont mordue, oui, tu ne les aimes pas, sans doute y goûteras tu de nouveau...mais moi...j'en pince pour toi Ma Belle.
Photo: - DR - Auteur Inconnu
mercredi 7 janvier 2015
dimanche 4 janvier 2015
A ses pieds...
Il a enroulé les cordes, avec soin. Il les délie, d'un geste rapide. Elles tombent à terre dans un bruit sourd. L'odeur du chanvre monte légèrement dans l'atmosphère enfumée. Il fait glisser les liens entre ses doigts, lentement.
Je le regarde, il me sourit.
Il passe derrière moi... Il m'attache les poignets. Le contact des cordes me fait frissonner.
Ses instructions sont rares.
"Plie les coudes"
Concentré, il s'applique. Ses doigt jouent des partitions qu'il connait déjà, improvisent des nœuds, exécutent une harmonie de chanvre symétrique et régulière.
Les cordes soulignent mes courbes, les déforment, les réinventent, courent comme des racines à la surface de mon corps, distribuant leur sève léthargique. Mon esprit s'abandonne.
Il étend un matelas sous moi. Il me demande de me coucher. Je tombe à genoux. Je sens le tissu caresser mon ventre. Il remonte mes jambes dans mon dos, noue mes chevilles à mes poignets. Et pose un bandeau sur mes yeux. Je descends lentement en moi.
Mon corps inutile ne réagit plus. Il ne m'appartient plus. Il lui appartient Je suis totalement vulnérable. Et paradoxalement libre.
Mon cœur est calme. Je sens ses battements sur mes lèvres. La sensation est douce. Elle fait divaguer mon esprit. Mes pensées vont et viennent, comme des voiles mollement agités.
De temps à autre, il caresse mon dos comme pour visiter sa propriété. Sa main réchauffe mon corps engourdi. Il pose son pied nu sous ma joue. Je le caresse doucement avec mes lèvres et ma langue. Tout est tranquille.
Sous mon bandeau, je me demande ce qu'il pense. J'imagine le plaisir qu'il ressent à me voir ainsi offerte. J'imagine qu'il pourrait me porter ainsi et m'amener avec lui.
samedi 3 janvier 2015
Au calme...à mes pieds
Tendre moment de complicité silencieuse...
Parée de chanvre, couché sur le sol tu es là aussi belle que calme, aussi captivante qu'immobile.
Mon regard se promène sur ton corps contraint, tu parais sereine et apaisée bien qu'à ma totale merci.
Tu prends jour après jour davantage goût à ces attaches, à ces contraintes que je m'amuse à apposer sur ton corps offert.
En ces moments silencieux, je suis tout près, je t'observe, ému et touché par cet abandon que tu m'offres.
Photo: - DR - Auteur Inconnu
jeudi 1 janvier 2015
Bonne et Heureuse Année 2015
A toutes et tous, Dominants, dominés, fétichistes et autres "kinksters" qui se seraient volontairement égarés sur ces pages, je vous souhaite une très belle et heureuse année 2015.
Puisse cette dernière vous apporter son lot d'émotions, de plaisirs et de chairs dans un esprit safe, sane & consensual.
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